Au campus CNRS de Villejuif, à partir du 12 octobre 2017
Vernissage le jeudi 12
octobre 2017 à 13 h
Déccrochage le lundi 20 novembre 2017
À la MSE début 2018
Reprenant le jeu collectif, inventé par les surréalistes dans les années 20, du cadavre exquis « consistant à faire composer une phrase, ou un dessin », nous avons souhaité adapter ce processus à la photographie.
Le jeu étant pour chaque photographe de répondre ou d’interpréter uniquement l’image du photographe qui le précède.
Le Dictionnaire abrégé du surréalisme donne du cadavre exquis la définition suivante : « jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles ne puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes. »
Ce jeu littéraire a été inventé à Paris, au 54, rue du Château, dans une maison où vivaient Marcel Duhamel, Jacques Prévert et Yves Tanguy. Le principe du jeu est le suivant : chaque participant écrit à tour de rôle une partie d'une phrase, dans l'ordre sujet–verbe–complément, sans savoir ce que le précédent a écrit. La première phrase qui résulta et qui donna le nom à ce jeu fut « Le cadavre – exquis – boira – le vin – nouveau ». Il fait partie des créations inspirées par le concept d'inconscient, souhaitant explorer ses ressources.
Il n'était au départ qu'une activité ludique, selon André Breton : « Bien que, par mesure de défense, parfois, cette activité ait été dite, par nous, « expérimentale », nous y cherchions avant tout le divertissement. Ce que nous avons pu y découvrir d'enrichissant sous le rapport de la connaissance n'est venu qu'ensuite. »
Ce fut aussi un divertissement pour les photographes du Club... à découvrir dans les pages qui suivent, avec leurs commentaires.
Fabrice Jejcic
Il s'agit de la 2e édition d'un cadavre exquis avec les membres du club. Réalisée sur 2 tours, cette série a été plus longue que la précédente. 39 photos se sont ainsi succédées entre le 14 mars 2016 et le 7 avril 2017.
Chaque photographe avais une semaine maximum pour envoyer sa photo au suivant.
Les contraintes techniques de ce nouveau cadavre exquis étaient :
- format vertical (portrait),
- ouverture des passe-partouts : 29X39
- et taille des cadres : 40X50.
Chaque photo est accompagnée de son titre et d'un petit texte permettant de comprendre la démarche du photographe.
- 1 -
À l'aube du printemps - Paulette Roulon-Doko
J'ai été la première à démarrer ce cadavre exquis et j'ai choisi de photographier le poirier qui, dans mon jardin, me permet de suivre les saisons. Prise au petit matin, on ne se croirait pas
encore au printemps.
- 2 -
Composition au café - Magali Sansonetti
Composition au café ou comment intégrer un arbre dans une scène d'intérieur, pour couper court directement à la suite d'arbres si prévisible, et en utilisant ce qu'on a sous la main au labo,
parce qu'on est déjà limite hors délai !
- 3 -
Pause café - Marie-Claude Simeone-Senelle
Pause café est le pendant de celle que j'avais reçue et qui représentait une table de cuisine où était posés, éparpillés, divers objets, dont une tasse à café et une carte postale ou un
tract ? J'ai voulu évoquer avec cette pause-café parmi les cuivres, une atmosphère plus intime, plus chaleureuse, plus orientale aussi, le livre (un auteur égyptien) rappelant le papier qui se
trouvait sur la photo envoyée. (Photo prise chez moi, à Bagneux).
- 4 -
Tour l'arabesque - Mourad Aouini
La photo de Marie-Claude est une véritable invitation pour se plonger dans l'ambiance mystérieuse de la culture arabe. Une invitation à aller s'assoir à la table : sentir l'odeur dégagée par le
café et lire un texte du fameux romancier égyptien Taha Hussein qui raconte l'état d'un jeune homme amoureux et bouleversé. J'ai accepté l'invitation et je me suis allé à l'institut du monde
arabe dans l'espoir de retrouver la même atmosphère et là j'ai été attiré par les motifs et la lumière...
- 5 -
Dedans-dehors - Marie-Agnès Barrère
L’idée était de garder la géométrie des lignes et l’effet « dedans-dehors », mais en l’inversant, c’est-à-dire en privilégiant le dehors sur le dedans.
D’où une maison à colombages très géométriques (et vifs, d’où le choix de la photo couleur) reprenant exactement les lignes de la fenêtre à travers laquelle on regarde.
- 6 -
Quand le gothique rencontre le contemporain...
Danielle Bonardelle
La photo précédente reçue de Marie-Agnès montrait une façade basque vue au travers d'une fenêtre ; en me promenant à Beauvais, j'ai remarqué ces fenêtres modernes dans lesquelles se reflétait la
cathédrale gothique beauvaisienne. Le lien m'a paru évident lors de cette balade !
- 7 -
Héros mythique du passé, héros mythique du présent
Carla Bozzolo
Danielle Bonardelle, en m’envoyant sa photo qui représentait l’image déformée d’une église gothique aperçue à travers une structure moderne, s’adressait à une personne qui avait
pratiqué pendant bien des années l’histoire médiévale ! Que devais-je faire ? Me replonger, pour trouver l’inspiration, dans mes recherches ? Pas possible ! Je me suis alors souvenue qu’au cours
d’un voyage en Sicile j’avais acheté un « Pupo », l’une de ces reproductions des marionnettes du théâtre populaire dit « Opera dei Pupi », né au début du XIXe siècle en Sicile (même si son
origine est bien plus ancienne) qui racontait et raconte encore des histoires inspirées de la littérature française chevaleresque du Moyen Âge (La Chanson de Roland) ou de la poésie
épique italienne (Le Roland furieux de Ludovic Arioste, début XVIe s.). J’ai alors pensé d’aligner sur une même prise de vue mon Roland, héro mythique du passé, et l’image emblématique
d’un footballeur, héro mythique du présent !
- 8 -
Passé masqué et présent volatile - Corinne Brachet-Ducos
Exposition d'art moderne à la Foire internationale d’art contemporain de Paris, en plein air au Jardin des Tuileries. Hors expo, intemporel, de marbre, toujours dans le décor, une statue aux
formes académiques, au titre évocateur : La comédie. J'étais à la recherche d'une image en fil d’Ariane avec la photo reçue, qui serait « décalée », entre passé, présent, tradition,
mémoire et instantané. La statue de Jules-Toussaint Roux (1874), cette femme le masque à la main, a répondu au décor de la mise en scène recherchée, associant Passé, Présent, Masqué, la
volatilité d'une exposition d’art contemporain éphémère (comme le foot à la télé dans la photo précédente) avec la mémoire de marbre d'une représentation culturelle passée et la « drôlerie » du
pigeon perché, insouciant (vivant, volatil et furtif).
- 9 -
J'écris ton nom - Fabrice Jejcic
La photo reçue m'a fait penser à la statue de la place de la République. Puissant symbole vers lequel a convergé spontanément le tout Paris, suite à l'attentat de Charlie Hebdo. Un an et demi
après, l'état d'urgence est toujours maintenu, la première devise de la République est en souffrance, la Liberté prend l'eau, c'est l'alerte de la Seine ! Et le titre renvoi au célèbre poème de
Paul Éluard : Liberté (1942).
- 10 -
Patrick Choinier - Les ailes de la liberté
Quel que soit le lieu, je suis attiré par la symbolique des monuments commémoratifs et en particulier par ceux de la première guerre mondiale 1914-1918.
- 11 -
Le pigeon enchanté - Davide Gherdevich
J’ai pivoté un peu la photo pour donner l’effet de mouvement, et le pigeon qui regarde donne à la photo un air surréel.
- 12 -
Zenitude - Florence Jallier
À réception de la photo, ma 1ère impression fut « que vais-je bien pouvoir faire comme cliché » puis après réflexion, mon inspiration est partie sur l’association de la nature et des sons. D’où
la réalisation de cette photo.
- 13 -
Exotisme - Christian Chanard
La photo qui m'est parvenue était une composition associant une plante et un carillon à vent évoquant un univers extrême-oriental. J'ai transposé cette évocation en photographiant un petit coin
au-dessus de ma bibliothèque où s'entasse des souvenirs d'une vie antérieure, extrêmement orientée (sic) elle, vers l'Afrique où j'ai vécu de longues années. Fleurs et instruments de musique
rappellent les éléments de la photo précédente, la bouteille de thé faisant le lien entre les deux mondes, sans que j’aie eu besoin de changer quoi que ce soit.
- 14 -
Iguane - Florian Morlet
J’ai pris la photo de ce reptile dans une animalerie en réponse à l’exotisme de la photo précédente.
- 15 -
Rencontre avec la préhistoire - Jacques Mullard
L’iguane de la précédente photo m’a fait penser à un animal préhistorique. J’ai alors imaginé une image pouvant suggérer la préhistoire au sein de notre vie actuelle, avec cette statue plus vraie
que nature dans un milieu naturel avec en toile de fond un bâtiment récent.
- 16 -
Vanité préhistorique, regards croisés - Jérôme Médard
Les abords du muséum d’histoire naturelle sont bien connus des Parisiens - voire des non-Parisiens comme moi. Je me suis donc rendu au jardin des plantes dans l’idée de photographier les
ossements de cette brave bête envoyée par Jacques. Certains sont exposés dans le bâtiment derrière lui sur la photo. Le résultat ne m’ayant pas satisfait j’ai continué à me promener dans le parc,
lequel accueillait l’exposition temporaire Magicien d’os, représentant ça et là des ossements démesurés d’animaux préhistoriques. Ma photo a tenté d’utiliser une des ses sculptures, le
mammouth semble y lorgner sur son devenir (advenu) et nous montrer, tout géant que nous sommes, la fatalité de l’existence.
- 17 -
Vanité contemporaine et regard captif - Isabelle Leblic
En recevant Vanité préhistorique, regards croisés j’ai cherché à rebondir sur les termes « vanité » et « regard » puis sur
« préhistorique » et « croisé » ce qui a donné « vanité contemporaine et regard captif » donc une nature morte contemporaine… quoi de mieux que mon fils devant son écran d’ordinateur en train de jouer en ligne… « regard
captif » et en clin d’œil, ce masque de cérémonie mortuaire mexicain comme un autre renvoi à la vanité et au regard captif.
- 18 -
L'habit ne fait pas le moine - Fabrice Jejcic
La réception de la photo est une invitation à des substitutions : à l'atmosphère de bazar exotique sympathique, l'ordre poutinien froid (chapka et appareil photo Lubitel) ; au Coca, à défaut de
vodka, un Gaillac servi dans un verre ; au masque exotique, la pomme Apple souriante collée sur un PC ; à l'image encadrée des derniers instants la pérennité des livres dans les cadres des
casiers, avec les musiciens au sommet. L'ambiance soupçonneuse demeure.
- 19 -
La cité des anges - Baptiste Villain
J’ai pris cette photo en fin d’après-midi dans le quartier de Downtown à Los Angeles, sur le toit d’un immeuble. Au premier plan, le briquet reflète les États-Unis, contrairement à la bière
bavaroise éclusée ce jour-là. En arrière-plan, on peut apercevoir le drapeau américain.
- 20 -
Apérol - Claire Kulaga
La photo que j’ai reçue en septembre, au sortir des vacances d’été, et représentant une bouteille de bière et un verre, m'ont inspiré la prise de vue d’un cocktail frais et coloré que j’ai bu
tout l'été : le Spritz. J’ai voulu mettre en évidence sa couleur par un cadrage serré.
- 21 -
Ivresse place de l'étoile - Paulette Roulon-Doko
Au second tour j'ai reçu la photo de Claire Kulaga Apérol qui montrait une tranche d'orange sur le dessus d'une boisson. La boisson m'a fait penser à l'ivresse et j'ai choisi la photo
Ivresse place de l'étoile qui est une place à Copenhague avec cafés, salle de musique et jeux de plein air, appelée place rouge on voit d'ailleurs écrit Moscou en écriture cyrillique sur
un écriteau lumineux comme le verre et l'étoile rouge.
- 22 -
Vigiles de la place M4 - Marie-Claude Simeone-Senelle
Vigiles de la place M4 prend la suite de la photo d'une place dominée par un mât au sommet duquel brille une étoile rouge. Ici ce sont les grues, utilisées pour les travaux de
prolongement de la ligne M4 à Bagneux qui attirent le regard. Elles m'ont fait penser à de gros oiseaux surveillant nuit et jour les humains qui s'activent à leur pied, l'absence de ces humains
sur la photo renvoie à un paysage de science-fiction, d'où le titre de la photo.
- 23 -
La vigie qui ne dira rien - Magali Sansonetti
La vigie qui ne dira rien ou comment garder quelques lignes ou quelques éléments issus de la photo d'avant (les mâts ou structures verticales, l'immeuble...) et faire une image
graphique, inspirante pour le photographe suivant, en essayant de ne pas se faire écraser dans un carrefour très passant, au milieu des voitures.
- 24 -
Hugo et la seine - Mourad Aouini
En recevant la photo de Magali, j'ai repéré plusieurs éléments, à savoir : statue, couleurs, brillance, hauteur... Je suis allé me balader sur la Seine, j'ai pris plusieurs photos en m'inspirant
des éléments de la photo reçue... mais au passage d'un bateau, une scène se déroule...
- 25 -
L'aigle monte la garde - Marie-Agnès Barrère
L’idée était de conserver le bleu du fond, et celle du doré qui contraste. Mais en changeant le lieu, pour figurer l’aigle impérial doré, vu au Château de Fontainebleau (emblème de la puissance
de Napoléon), surplombant une majestueuse grille, elle-même dorée.
- 26 -
Je vous ai à l'œil - Danielle Bonardelle
De la photo précédente L'aigle monte la garde, j'ai gardé le thème « oiseau/volatile » et lorsque me baladant dans mon jardin, j'ai vu « Cocotte » me regarder, ce cliché s'est imposé à
moi.
- 27 -
Donne-moi tes yeux ! - Carla Bozzol
La belle poule de Danielle Bonardelle était accompagnée de la légende : « Je vous ai à l’œil ! ». D’emblée, j’ai pensé aux innombrables expressions, locutions à partir du mot « œil ». J’avais
retenu de photographier une belle lucarne ronde, un « œil-de-bœuf », mais, en faisant un jour le tour dans mon quartier, mon œil… a été attiré par une grande enseigne d’un de ces nombreux
magasins de lunettes qui essaient à tout prix d’attirer la clientèle…
- 28 -
Ce que je vois par ma fenêtre, vision quotidienne
Corinne Brachet-Ducos
Voir du point de vue de l'autre, au quotidien, par la fenêtre de la chambre. En écho à la photo reçue avec l'enseigne de l'opticien...
- 29 -
Lisbonne par le hublot - Christian Chanard
La photo qui m'a été transmise présentait une vue en partie prise à travers une paire de lunettes dont on voyait le contour. De passage à Lisbonne avec comme seul appareil de prise de vue une
tablette, je testais une lentille grand angle clipsée sur l'objectif. En prenant cette vue plongeante sur la ville depuis une salle de bain, le contour déformé de la fenêtre formait un hublot qui
m'a fait penser à la photo du cadavre exquis. Il se trouve qu'au même moment, un avion passait et entre cette vue à travers un hublot et l'avion, j'y ai vu un clin d'oeil de plus.
- 30 -
Pic de pollution - Patrick Choinier
Après plusieurs jours où le seuil d'alerte aux particules fines a été dépassé, la circulation alternée est appliquée le mardi 6 décembre 2016.
- 31 -
Life - Davide Gherdevich
L’amour de ma vie, la plage, une légère brume, le coucher du soleil et seulement le bruit des vagues… it's a wonderful world.
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Gourmandise - Florence Jallier
Je souhaitais rompre avec le coté paysage et suis partie sur le côté texture de la matière en jouant sur le l’aspect
« crémeux », rappelant les vagues qui s’échouent sur la plage.
- 33 -
Un moment appréciable - Jérôme Médard
J’aime les cappucinos. En début d’année nous « fêtions » le départ de Paris d’une amie. Nous nous sommes retrouvés dans une crêperie à l’ambiance typiquement bretonne et maritime. Avant de
partir, et en Britanique qui se respecte, Anisha pris un thé et moi un cappucino. Ce n’est qu’en commençant à le boire que la photo de Florence m’est venue à l’esprit. Ni une ni deux, je demande
à Anisha si elle accepterait de poser pour ce projet avec ma tasse et voici donc la photo de ce moment. Un moment appréciable et maintenant inoubliable.
- 34 -
Un instant musical - Florian Morlet
J’ai voulu partir des mains pour faire le lien avec l’image précédente, c’est pourquoi j’ai pris cette photo de mon amie jouant du piano.
Au final, les images se répondent sous forme de contrastes, le sujet de dos dans une atmosphère monochrome, en opposition avec le sujet de face et l’ambiance colorée et chaleureuse de celle qui précède.
- 35 -
Soprano sur piano - Jacques Mullard
À l’image précédente, un(e) pianiste, il fallait un contrepoint. Qui accompagne-t-il(elle) ? Cette soprano est peut-être la réponse.
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Vieille femme dans l’obscurité - Claire Kulaga
Cette vieille femme, par la magie de la scénographie de l’exposition consacrée à Jean Nouvel au Musée des Arts Décoratifs (Paris), parait mise sous les feux des projecteurs, comme apparait la
chanteuse soprano que j’ai reçue.
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Lignes de lumières dans l'obscurité́ - Isabelle Leblic
En recevant Vieille femme dans l'obscurité
j’étais, je dois dire moins inspirée.
J'étais alors à San Francisco et j'ai donc cherché sur place ce que je pourrais photographier pour répondre à cette photo.
Cela a été plus difficile que pour le premier tour car je n’avais ni trop le temps ni trop de choses pour m'inspirer. J'ai donc choisi de reprendre le thème de l'obscurité pour ces
lignes de lumières dans l'obscurité.
- 38 -
Mobilier urbain - Chloé Noirjean
En voyant la photo qui devait m’inspirer j’ai tout de suite pensé à faire un gros plan sur un lampadaire mais tout seul, cela semblait un peu piège pour le suivant ! J’ai donc choisi un immeuble
en fond avec une fenêtre, qui laissait nettement plus de possibilité pour le suivant…
- 39 -
Phare islandais - Baptiste Villain
J’ai pris cette photo en Islande, dans les fjords du Nord-Ouest où s’aventurent fréquemment des baleines. Dans ce coin, j’ai aussi aperçu une aurore boréale fin aout alors que c’est très rare à
cette période de l’année. Après avoir arpenté les côtes de ce pays nordique, je n’ai jamais pu voir un autre phare comme celui-ci. La variété des paysages en Islande est vraiment incroyable
!
39 photographies par 20 photographes du club photo du CAES de Villejuif.
Par Mourad Aouini, Marie-Agnès Barrère, Carla Bozzolo, Danielle Bonardelle, Patrick Choinier, Corinne Brachet-Ducos, Christian Chanard, Davide Gherdevich, Florence Jallier, Fabrice Jejcic, Claire
Kulaga, Isabelle Leblic, Jérôme Médard, Florian Morlet, Jacques Mullard, Chloé Noirjean, Paulette Roulon-Doko, Magali Sansonetti, Marie-Claude Simeone-Senelle, Baptiste Villain.
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